23 June 2007

[campagne - 024] Keanos, 4me jour

Après la rencontre avec l'étrange magicien, la route se poursuit, grise et monotone. Un crachin tiède tombe régulièrement, et devient de plus en plus froid à mesure que vous montez. Le soir, vous vous installez à nouveau dans une bâtisse abandonnée, datant de la splendeur d'un quelconque empire du passé.

Au cours du bivouac, Heliern vous dit qu'il espère atteindre la passe entre le pays de Keanos et celui de Saug le surlendemain. En fait, vous pourriez même l'atteindre le lendemain soir en marchant bien, mais il vous explique que ce serait suicidaire de passer la nuit en haut du col, à cause des températures.

Le lendemain, vous vous remettez en route sans trop presser le pas. Il devient de plus en plus difficile de faire avancer les charrettes : le revêtement de la route est cassé, et les hommes de Heliern montrent tout leur savoir-faire dans ces situations difficiles. Les humathis en profitent pour repérer les alentours et vérifier qu'il n'y a pas d'odallis hostiles dans les parages.

13 June 2007

[campagne - 023] une étrange rencontre

L'homme s'approche tranquillement de votre troupe, pourtant composée de nombreux gardes et portefaix.
Kirit peut constater que l'homme est seul.

La caravane est maintenant à l'arrêt. Heliern regarde s'approcher l'inconnu. Maintenant qu'il est près de vous, vous vous rendez compte que c'est un sorcier malkioni, dont certaines parties du corps semblent de métal, ou alors avoir été remplacées par des pièces métalliques.

Le sorcier s'arrête devant Heliern et l'apostrophe en ces termes : « Quelle est ta religion ? »
Heliern : « Je suis malkioni, de l'ordre de Saint-Sestercien. Mes hommes sont également de bons malkionis, sauf mes gardes qui sont humathis. »
Le sorcier répond : « Hm. Des malkionis accompagnés de barbares, quelle décheance ! Écoutez-moi bien : être malkioni, c'est parfait. Humathi, passe encore. Mais méfiez-vous des amis-des-dragons ! Ils sont partout ! Ils trament des complots contre nous ! Ils fomentent des troubles ! Tout est de leur faute ! »

Puis, il vous dépasse, et continue son chemin...